Challenges à relever :
J’ai choisi le use case 2 : Utiliser les signaux d’intention (intent data) pour prioriser les efforts d’outreach
Un des plus gros défis de l’outreach, c’est de trouver les prospects qui sont potentiellement intéressés par ton offre. Le cold c’est bien, mais c’est un peu du pif.
Chez deux.io on s’est creusé la tête et on a décidé de se focaliser un maximum sur les signaux d’intention. Qui dit signal d’intention, dit lead pré-qualifié.
Alors on a mis en place pour nos clients un use case basé sur l’intention et qui fait ses preuves : les prospects sont les personnes qui ont interagi avec ton profil Linkedin.
L’approche :
La stratégie globale :
- tu publies au moins une fois par semaine sur Linkedin, sur des sujets qui intéressent tes prospects
- tu récupères sur un Google Sheets toutes les personnes qui interagissent avec tes posts /visitent ton profil
- tu scores ces leads en fonction du nombre et type d’interactions
- tu envoies ceux qui t’intéressent dans une campagne LGM
Le gros + de cette stratégie, c’est que le prospect te connaît déjà et apprécie ce que tu fais. Il est déjà à moitié convaincu d’acheter ton produit.
Ciblage et Canaux :
Tu cibles les personnes qui interagissent avec ton profil ET qui sont dans ta cible (exit le collègue ou le cousin qui commente tous tes posts pour te faire plaisir)
Chez deux.io, on n’a pas l’time, alors on a codé un Google Sheet qui fait tout ça pour nous : il importe sur le sheet les leads qui interagissent avec ton profil, il score les leads, tu les sélectionnes manuellement en fonction du scoring, puis le tool les envoie dans ta campagne LGM.
J’utilise uniquement Linkedin comme canal de contact, pour rester en cohérence, les premiers contacts ayant eu lieu sur la plateforme.
Séquence :
Une image vaut mieux que mille mots, voici le workflow :
Exemple d’accroche :
Et voici une petite vidéo pour résumer tout ça
Bonus :
Résultats observés : obligés de stopper la campagne parce que plus assez de place dans l’agenda