Bonjour tout le monde !
L’année dernière, avec Skeelz, j’interviewais Pierre-André Fortin et Jérémy Guillo, deux cadors dans leurs domaines, sur « comment recruter plus intelligemment sur LinkedIn ».
La discussion a vite tournée sur le sujet de la personnalisation des messages, et sur le fait que le ratio temps passé → bénéfice devenait vite nul, voire carrément contreproductif, passé un stade d’hyper-personnalisation.
Un an plus tard, le conseil de passer plus de temps à segmenter son audience, puis à se poser la question « que puis-je lui apporter dans ce message » me reste vraiment en tête. Ce qui rejoint en un sens ce thread
Yep, personnaliser pour personnaliser ça n’a pas d’intérêt. L’essentiel c’est que la personne en face voit l’intérêt d’interagir avec toi. Si t’es autocentrée, tu peux personnaliser autant que tu veux, ça restera un message sans grand intérêt.
Pour moi, personnaliser est moins important que segmenter.
Si tu envoies un message pourri à une audience ultra bien ciblée / segmentée, tu auras plus de retours que de shooter un message ultra personnalisée à une audience pourrie.
Segmentation > Personnalisation.
Je ne dis pas qu’il ne faut pas personnaliser, mais qu’en vrai, quand tu segmentes bien, ton copywriting devient personnalisé « de fait ».
Totalement d’accord avec toi. L’essence même d’une prospection réussie, c’est une segmentation fine. Plus ton audience sera homogène, moins tu auras à te creuser la tête à hyper-personnaliser pour créer un copywriting percutant.
Assez d’accord avec tout ce qui a été dit, il y’a pour moi un équilibre à trouver entre identifier la bonne audience et personnaliser.
Quand on sait qu’on parle à la bonne personne, le copywriting prend déjà une bonne partie de la perso, ensuite on peut ajouter un ice breaker ou quelques variables.