Une mauvaise ligne d’objet peut être fatale en prospection.
De ce que j’observe, les pires erreurs à éviter c’est :
manquer de clarté
être trop long
être boring OU être trop fun (festival d’émojis)
ne pas personnaliser
Voici quelques lignes d’objets que je trouve pas trop mal… (sans être complètement emballée non plus)
« Comment [nom d’une entreprise connue] a amélioré [un aspect] avec notre aide »
→ Utiliser un cas concret de succès d’une boîte reconnue pour augmenter la crédibilité et l’intérêt pour le produit/service
« Exclusif : Accès anticipé pour [nom de l’entreprise] à notre dernier rapport sur [sujet] »
→ Offrir qqch d’exclusif ou d’anticipé pour créer un sentiment de privilège et de rareté, ce qui incite le destinataire à en savoir +
« Vous manqueriez une occasion de doubler votre ROI cette année ? »
→ Question rhétorique qui pique la curiosité et crée un sentiment d’urgence.
Vous qui avez dû tester plein de choses, je suis curieuse de savoir :
Comment vous abordez la création d’objet pour vous assurer qu’il résonne avec le destinataire ?
Quelles leçons vous avez tirées de ce qui ne fonctionne pas ?
Comment est-ce que vous restez inspirés pour continuer à créer des objets d’email innovants et efficaces ?
Vous accordez bcp d’importance à l’A/B test pour vos lignes d’objets ?
De mon côté pour les objets mail je recommande 2 ou 3 mots grand maximum. Ceux que tu proposes @Eloise sont plus appropriés pour une démarche d’email commercial / newsletter.
Le but est que l’email ressemble le plus possible à un email du quotidien. D’un collègue à un autre par exemple. Car n’oublions pas qu’ici notre objectif n°1 est que notre email soit ouvert.
L’objet doit être donc le plus court possible, et évoquer l’email tout en suscitant la curiosité pour pousser à l’ouverture. Certains préfèrent les minuscules, j’ai testé les deux et cela va aussi dépendre du momentum, de tes cibles, du marché…
Je dis souvent à mes clients que le mieux est que cet objet soit lié au problème principal rencontré par le persona que l’on contacte.
À l’époque où j’ai fait du freelancing chez Deux.io, j’ai eu à rédiger des séquences pour une belle boîte (assez famous) qui faisait de l’influence marketing.
Mon email d’intro sur ces séquences a fait 100% d’ouverture (et on parle pas de liste de 100 pers ).
Mon objet était le suivant : « sans objet »
Tout ça pour dire que ça dépend de beaucoup de chose (cibles, contexte, segmentation, etc.)
La meilleure approche (selon moi) :
Être créatif, sortir des sentiers battus, ne pas toujours suivre les best-practices, oser des choses nouvelles…
Yes d’accord avec @nathanguillaumin, et je suis assez fan des objets de @jbjzq avec Evaboot. Il garde ces pratiques de cold qui fonctionnent bien, et ça fait mouche à chaque fois